L'une des périodes difficiles de l'existence est la période de cessation d'activité, la retraite. Ainsi pour mieux vivre ce temps, les fonctionnaires souscrivent aux caisses d'épargnes assurance retraite. Les pensions reçues à la retraite avec les deux piliers qui existent suffisent-elles ? Vous découvrirez dans cet article l'intérêt de souscrire à un troisième pilier.
Travailler pour être à l'abri plus tard
Que vous soyez entrepreneur ou fonctionnaire, il arrive cette période de votre vie où travailler est pénible. Contrairement aux entrepreneurs qui vivent des intérêts colossaux et peuvent en jouir sur des années même en cessation d'activité, le fonctionnaire se contente de son salaire mensuel. Pour pouvoir donc survivre après la cessation d'activité ce dernier souscrit à deux différentes assurances, l'assurance survivants et l'assurance professionnelle. Mais il n'est toujours pas à l'abri. Il lui faut donc une troisième souscription : l'épargne mensuelle avec des avantages fiscaux. Ce pilier qui a plus un caractère personnel contribue énormément aux soulagements du fonctionnaire à la retraite ; lisez ceci pour mieux vous renseigner sur le troisième pilier.
Rationaliser ses dépenses en période d'activité
La souscription à un troisième pilier exige du fonctionnaire un sacrifice énorme. Il doit pouvoir prélever dans son revenu mensuel déjà insuffisant. Pour y arriver, il lui faut rationaliser ses dépenses. Les fonds économisés dans le cadre de la souscription d'un troisième pilier vont plus tard lui servir à investir. Avec les avantages fiscaux dont il bénéficie, il pourra réaliser des projets avec son épargne quand il sera à la retraite. Il souffrira à l'instant qu'il s'organise à le faire mais lorsque les conditions seront réunies il en jouira. Les fonctionnaires frontaliers sont dans une certaine mesure plus concernées par cette mesure plutôt salvatrice. Compte tenu du statut particulier dont ils bénéficient, ils ont un intérêt à souscrire au troisième pilier.